quintes social

Dotée d’une pratique exclusivement tournée vers le droit du travail et le droit de la Sécurité sociale, l’équipe droit social dispose d’une expérience reconnue et de compétences lui permettant de vous conseiller en amont de toute procédure judiciaire, et de vous assister en cas de contentieux dans un cadre judiciaire ou amiable.

Pôle Conseil en droit social – Gestion RH

Piloté par maître Claire BUFFIN-CHAMPIN, le pôle Conseil vous accompagne au quotidien pour toutes vos problématiques de droit social et gestion RH, dans les domaines suivants :

  • Relations individuelles de travail (conclusion, exécution, rupture des contrats de travail)
  • Relations collectives de travail (représentation du personnel, négociation collective, épargne salariale, protection sociale complémentaire, etc.)
  • Relations avec les administrations (Urssaf, inspection du Travail, etc.)

L’équipe dédiée au conseil vous assure une forte disponibilité pour vous apporter en temps réel une réponse opérationnelle, adaptée aux besoins de votre entreprise. Elle a pour exigence d’être proactive afin de sécuriser vos relations de travail et anticiper au maximum les éventuels risques.

C’est ainsi que notre équipe experte du droit social conseille et assiste ses clients depuis plusieurs années sur tous les aspects législatifs, réglementaires, qu’ils soient liés à l’actualité, aux imprévus, à la gestion de crise ou à des projets au long cours.

  • Gestion des relations Individuelles de Travail
    • Embauche (rédaction de contrats, choix du statut, etc.)
    • Exécution du contrat de travail
    • Durée du travail et aménagement de la durée du travail
    • Mise en place, suivi et respect des obligations patronales en matière d’hygiène et de sécurité
    • Faire face à des allégations de harcèlement, discrimination, égalité de traitement, etc.
    • Suspension du contrat de travail : accident, maladie, activité partielle, etc.
    • Rupture du contrat de travail : droit du licenciement pour faute ou pour motif non disciplinaire
    • Droit du licenciement pour motif économique
    • Réagir aux autres modes de rupture du contrat de travail : démission, prise d’acte, résiliation judiciaire
    • Ruptures négociées (procédure de rupture conventionnelle, accord transactionnel)
    • Suivi et gestion des obligations légales ou conventionnelles (formation, pénibilité, etc.)
    • Départ ou mise à la retraite
  • Gestion des relations collectives de travail
    • Mise en place ou renouvellement des institutions représentatives du personnel (CSE)
    • Relations entre l’employeur et les institutions représentatives du personnel
    • Conflits collectifs
    • Négociation collective
    • Gestion des réorganisations d’entreprise et des restructurations (transfert des contrats de travail, cession, fusion, plan de sauvegarde de l’emploi, etc.)
  • Gestion des relations avec les interlocuteurs habituels de l’entreprise
    • Médecine du travail
    • Inspection du Travail (DREETS)
    • Organisations syndicales
    • Urssaf
  • Gestion suite à une rupture du contrat de travail et des fins de carrières
    • Accord transactionnel
    • Concurrence déloyale
    • Débauchage
    • Validité et respect des clauses de non-concurrence et clauses assimilées (clauses de respect de clientèle, de non-détournement, etc.)

    Indemnités de départ et gestion des fins de carrières

  • Droit de la Sécurité sociale

    Thématique de plus en plus fréquente et souvent mal appréhendée, le cabinet QUINTÈS Avocats a développé une compétence particulière pour assurer la gestion, dès l’origine, des problématiques liées aux accidents du travail et aux maladies professionnelles.

    Les courts délais de réaction, les conséquences financières et les cotisations AT/MP, les implications sur les relations individuelles et l’exécution du contrat de travail, ainsi que les responsabilités que ces thématiques peuvent engendrer nécessitent une gestion et l’analyse d’un professionnel.

    Le cabinet est ainsi votre partenaire pour :

    • Faire face et maîtriser une demande de reconnaissance d’accident du travail ou de maladie professionnelle
    • Contester une reconnaissance d’AT/MP
    • Faire face à un contrôle Urssaf et contester un redressement Urssaf
    • Solliciter un rescrit social
    • Effectuer un audit social
    • Mettre en place ou évaluer des primes ou des compléments de salaire
    • Etc.
  • Audit social

    Notamment en cas de reprise ou transmission d’entreprise, restructuration, LBO, refonte des procédures internes, accueil d’un nouvel investisseur, etc.

 

NOS INTERVENTIONS en droit social

TOILETTAGE ET MODERNISATION DE LA CONVENTION COLLECTIVE DE LA BRANCHE DES BUREAUX D'ETUDES TECHNIQUES

Entrée en vigueur au 1er mai 2023

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L’avenant n°46 du 16 juillet 2021 (et ses 3 avenants) à la Convention Collective applicable aux salariés des Bureaux d'Études Techniques, des Cabinets d'Ingénieurs-Conseils et des Sociétés de Conseils (IDCC n°1486) est entré en vigueur le 1er mai 2023, suite à la publication de son arrêté d’extension du 5 avril 2023 au JORF du 28 avril 2023.

Pour mémoire, cet avenant opère une refonte globale de la Convention Collective, avec une reformulation et une réorganisation du texte, qui passe ainsi de 84 à 69 articles répartis en 13 titres thématiques.

Par ces avenants, les partenaires sociaux ont souhaité réaliser un toilettage et une mise à jour complète de la Convention Collective, pour davantage de cohérence, de simplicité et de lisibilité du texte.

Si cette mise à jour s’opère pour l’essentiel à « droit constant », certains dispositifs conventionnels se trouvent toutefois modifiés.

Ceci est notamment le cas des dispositions relatives à la période d’essai, dont les durées sont mises en cohérence avec les dispositions légales. Le régime des délais de prévenance est également simplifié, avec l’instauration de durées de délais de prévenance fixes en cas de rupture de l’essai à l’initiative de l’employeur et plafonnées à 6 semaines.

A noter enfin que pour faciliter la transition, un tableau de passage entre l’ancienne numérotation et la nouvelle a été mis à disposition en ligne sur le site de la Fédération SYNTEC.

FORMATION

Le licenciement pour motif économique en période de liquidation judiciaire

 

Le vendredi 16 septembre, l’équipe du GIE Quintès Social a dispensé une formation à l’équipe du mandataire judiciaire de la SELARL JEROME ALLAIS sur la thématique du licenciement pour motif économique en période de Liquidation judiciaire.

La SELARL JEROME ALLAIS est une société de mandataire judiciaire.

Les équipes ont pu se retrouver au Domaine du Baron de l’Ecluse, situé à Saint-Lager, sur le Mont Brouilly et au cœur du Beaujolais.

      Formation ALLAIS 0922                               Formation ALLAIS 0922 .2

La formation s’est divisée en 2 parties.

Une première phase Conseil présentée par Maître Camille AGRAPART et Maître Claire BUFFIN-CHAMPIN a mis en avant les particularités procédurales du licenciement économique en phase de liquidation judiciaire.

Une phase Contentieuse, présentée par Maître Marie-Solène DEGHILAGE et Maître Sylvain FLICOTEAUX a suivi, axée sur les principaux risques contentieux et la gestion des dossiers prud’homaux post liquidation judiciaire.

Enfin, la formation s’est terminée par une visite découverte du domaine, ainsi qu’une dégustation de ses différents crus, animée par le propriétaire, Monsieur Jean-François Pégaz.

MAINTIEN DES GARANTIES SANTE ET PREVOYANCE EN CAS DE SUSPENSION DU CONTRAT DE TRAVAIL

Rappels

La loi n°2020-734 du 17 juin 2020, relative à diverses dispositions liées à la crise sanitaire, a instauré l’obligation de maintien de certaines garanties de protection sociale complémentaire pour les salariés placés en activité partielle ou activité partielle de longue durée. Initialement, cette obligation était applicable jusqu’au 30 juin 2021.

Une instruction ministérielle en date du 17 juin 2021 est venue pérenniser cette règle.

Désormais, les garanties des régimes santé et prévoyance doivent être maintenues par l’employeur aux salariés dont le contrat de travail est suspendu et qui perçoivent un revenu de remplacement (salariés placés en activité partielle ou en activité partielle de longue durée, salarié en congé de reclassement, congé de mobilité, etc.).

Les garanties de retraite supplémentaire ne sont quant à elle pas concernées par cette obligation de maintien.

Les entreprises doivent donc se conformer à cette nouvelle obligation et mettre à jour les actes fondateurs des régime santé et prévoyance, en parallèle de la mise en conformité de leur contrat  collectif par l’organisme d’assurance.

Mise en conformité des décisions unilatérales avant le 1er juillet 2022

Des délais de mise en conformité ont été prévus par l’instruction ministérielle. Ils diffèrent selon la nature de l’acte fondateur du régime :

  • - S’il s’agit d’une décision unilatérale, la mise en conformité doit avoir lieu avant le 1er juillet 2022;
  • - S’il s’agit d’un accord de branche, d’une convention collective, d’un accord d’entreprise ou d’un accord référendaire, elle doit avoir lieu avant le 1er janvier 2025.

En l’absence de mise en conformité des actes fondateurs des régimes dans les délais impartis, le caractère collectif des garanties et l’exonération des charges sociales pourront être remis en cause.

 

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